Un site web sur le COVID-19 à l’été 2023, vraiment maintenant ? – Oui !
Le COVID-19 a peut-être disparu des médias, de la politique et de la conscience de nombreuses personnes, mais le virus lui-même est toujours là et ne s’en ira pas de sitôt. Que la pandémie soit terminée ou non et nous sommes déjà endémiques.
Au contraire, en médecine, on parle d’endémie lorsque des cas de maladie surviennent continuellement dans une population ou une région donnée. En plus, le terme ne dit rien sur la gravité de la maladie. Le SIDA et le malaria ne sont que quelques-unes des maladies endémiques qui n’ont rien perdu de leur dangerosité pour les individus.
En ce qui concerne le degré de gravité de la maladie, pour le SRAS-CoV-2 – comme pour toutes les infections virales – on doit faire la distinction entre l’évolution immédiate et aiguë de la maladie et les conséquences à long terme.
Il existe un risque accru d’évolution aiguë sévère, en particulier chez les personnes âgées et les personnes souffrant de certaines maladies.
En revanche, selon les preuves actuelles, toutes les personnes, quel que soit leur âge, leur état de santé et leur gravité, semblent avoir un risque de conséquences graves à long terme.
Parce que le virus peut provoquer des changements dans les vaisseaux, les organes et le cerveau, il y a non seulement le risque de contracter le COVID long, mais aussi les preuves d’une accumulation de crises cardiaques, d’arrêt cardiaque, d’insuffisance cardiaque, d’arythmie cardiaque, de battements cérébraux, d’embolies pulmonaires, Le diabète sucré et la démence dus à une infection par le COVID-19 augmentent.
Il est également connu que le COVID-19 peut affaiblir le système immunitaire pendant au moins un certain temps, provoquant ainsi de moins bons résultats en cas d’infection par d’autres agents pathogènes.
À cet égard, des réinfections multiples peuvent être particulierement problématiques.
Nous devrions donc tous essayer d’éviter autant d’infections que possible par le SRAS-CoV-2, même à l’été 2023.